Les PJ passent le début de soirée dans une boite de jazz ou visiblement Mina a ses entrées. Mani ne peut s’empêcher d’aller jouer avec les musiciens présents. Ensuite, ils partent pour une boite plutôt ultra branchée : l’Enfer de Dante
Les PJ arrivent à l’Enfer de Dante, une boite de nuit de Seattle plutôt particulière. De nombreuses "créatures" surnaturelles sont présentes, principalement ce que les PJ appelleront des Démons [je ne peux pas expliquer s’il y a une erreur sans dévoiler une partie de la vision des choses donc j’utilise les termes des joueurs]. L’Enfer de DANTE est une boite particulière, 9 pistes de danse officielles avec tout type de musique, plus deux « zones particulières », l’une réservée aux adultes consentants (on entre sans ses vêtements) et une autre [les PJ n’ont pas d’infos dessus]. Les pistes de danse sont plus ou moins les unes au dessus des autres et sont en verre quasiment transparent. La hauteur entre les pistes est d’environ 15 m. La boite s’enfonce assez profondément dans le sous sol…
Alors, bien sur, il y a eu de la friction avec quelques démons, une bagarre évitée de justesse, une rencontre avec Zac, un vendeur de potions « magiques » en tout genre. La rencontre qui restera comme importante est celle d’Aleksi avec Melle Bérénice de Dante (16 ans – Brune et belle comme un cœur), fille de la directrice Beatrice de Dante qui serait l’amante de Dante (Poète Italien)
Information culture : Dante Alighieri le poète, écrivain florentin (1265-1321), il est considéré comme le 1er poète de langue Italienne. Il a écrit « la Divine Comédie » en trois parties : « l’Enfer », « le Purgatoire » et « le Paradis ». Il est visité la nuit dans ses rêves par ce qui sera considéré comme une Succube (et qui se prénomme Beatrice …. Tiens Beatrice de Dante !!!) Visitez les sites en référence
Une nouvelle mission leur est donnée lors de cette soirée : Retrouver à la demande d’une comtesse Polonaise un nommé Zawadski : dernière adresse connue : 13 rue St Anne à Seattle. Il est spécialiste en micro mécanique.
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